Cyril Zarcone
©Pas2signal ©ADAGP Cyril Zarcone
A mi-chemin entre les arts appliqués et les métiers du bâtiment, les installations de Cyril Zarcone revisitent la mémoire des formes et la transmission des savoir-faire dans un monde plus en plus globalisé
SOUVENIR DE L’AURA
INSTALLATION SOUS LE PAVILLON ROUGE
> Du samedi 11 février au lundi 4 décembre 2023
Vues de l’exposition personnelle « De l’aura »
Delta Runspace, Roubaix et Galerie Eric Mouchet, du 25 juin au 15 octobre 2022
©Frankie Allio @ADAGP Cyril Zarcone
Le sculpteur donne à voir la puissance des énergies industrielles grâce à deux gigantesques roues en bois suspendues sous les hauteurs du Pavillon rouge ! Aérienne et tout en rondeurs, la sculpture se détache de son écrin aux formes plus rectilignes et met en lumière l’esthétique des molettes des chevalements, pièces mécaniques essentielles à l’ère de l’industrialisation.
TUILERIES - QUESTIONS DE STATUES
RESIDENCE DE CREATION DONNANT LIEU A UNE INSTALLATION
> À partir du jeudi 18 mai
Vues de l’exposition personnelle « Coté Jardin »
Galerie Eric Mouchet, Paris, du 12 octobre au 23 novembre 2019
© Rebecca Fanuele © ADAGP Cyril Zarcone
Le projet comprend à la fois la présentation de quelques installations existantes mais aussi et surtout de plusieurs projets réalisés en résidence à la Cité des Électriciens en ayant recours à une technique spécifique au lieu : la terre cuite.
Les installations sont en effet réalisées en étroite collaboration avec la dernière briqueterie artisanale de Râches (la dernière du Bassin minier) qui a par ailleurs réalisé une partie du chantier de restauration de la Cité. Les références stylistiques et la monumentalité interrogent le statut des œuvres présentées et la place des statues dans les représentations du pouvoir.
Avec ses Tuileries, Cyril Zarcone questionne de façon décalée diverses réalités du bassin minier en faisant un clin d’œil tout à la fois aux sculptures que l’on associe naturellement au Louvre (et aux Tuileries) comme symbole de renaissance culturelle du territoire, tout autant que d’étonnants jardins populaires relevant de l’art naïf et de l’art brut.
En partenariat avec la Galerie Éric Mouchet et l’association Terre de Râches.